La place des femmes et des filles dans la liturgie a été définie clairement par les textes du Concile Vatican II et le Magistère romain: pourtant, elle reste très contestée sur le terrain, l’initiative étant laissée aux curés quant à la participation ou la discrimination des femmes ou des servantes d’autel dans l’organisation de leur paroisse.
De nouvelles formes de participation liturgique sont apparues telles les servantes d’assemblée pour justifier l’exclusion des filles du service de l’autel.
Quels sont les éléments factuels sur ce sujet: magistère, théologie?
Quels moyens d’agir et de réagir face à des situations observées dans nos paroisses ou nos expériences?
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