Les oubliées de l’Église

Sophie, engagée au service de l’Église depuis près de 20 ans, constate qu’encore aujourd’hui, peu de vraies responsabilités sont confiées aux femmes catholiques. Elle espère des changements, notamment l’ouverture d’espace de parole pour prêcher.

Pauline est toujours disponible pour aider dans sa paroisse. Pourtant, elle regrette que les temps de liturgie restent souvent à la seule charge des hommes : elle rêve d’homélies dites par des femmes !

Christine a mis ses pas dans ceux du Christ, au service de ses sœurs et de ses frères. Aujourd’hui, elle voudrait poursuivre son engagement pour l’Église en devenant diacre !

Pascale est aumônier dans le Jura : dans le cadre de sa mission, elle voudrait pouvoir donner certains sacrements.

Christina est prêtre dans sa communauté. Elle voudrait que, plutôt que le droit canon , la Parole soit remise au centre de la vie des chrétien·ne·s.

Lætitia donne de son temps pour les jeunes de sa paroisse. Elle espère voir des groupes de réflexions sur la place des femmes émerger dans l’Église. Et, pourquoi pas, une femme évêque ?

Mariam participe à la vie de sa paroisse en animant les chants lors des messes : pourtant elle s’est longtemps sentie mise de côté au sein de l’Église.

* Contrairement à ce qui est dit dans cette vidéo, la récente décision du Pape d’accueillir des femmes dans la fonction d’acolyte (pour assister le prêtre pendant la messe) ne concerne pas les enfants de choeur,
ou « servants de messe ».